Ce week-end, a eu lieu à "Duras" (Lot et Garonne, capitale du duché du même nom et appellation d'origine contrôlée ) la remise du Prix Marguerite Duras 2006.
On dit qu'une partie du jury aurait voulu que la fille de Madame Angot l'obtînt...
Autant donner à Jennifer de la Star'Ac le prix Marguerite Long...
Pourtant tout avait été préparé pour que la chose se fasse, ou pour parler plus chic, que la chose se fît... Quinze exemplaires avaient été édités pour les soumettre au jury... pas un de plus... pourquoi faire plus puisqu'une Camerone, en bonne état, vous sort 3000 exemplaires à l'heure ou à peu près... Pour ce qui est du jury, les membres se partagent entre nécrophage patenté, actrice crypto-slave sur le déclin, mais aussi fort heureusement réelle et humble artiste dédicataire de l'oeuvre et universitaire(s) reconnu(es) ...
C'était sans compter sur le "réglement" et sur la vigilance de ceux qui considèrent et c'est à leur honneur, que ce ne sont pas les éditeurs qui doivent faire les prix (même lorsqu'une partie du jury à leur solde tente de démontrer , par l'absurde, le contraire..). En effet, manque de pot, pour prétendre à l'obtention de ce prix, il faut que l'ouvrage soit en librairie...
La fille de Madame Angot, malgré ses appuis, n'a pas été couronnée...
On pourra donc dire, enfin avec justesse, que l'oeuvre de Christine Angot n'a pas de prix...
Josyane Savigneau doit en frémir de rage...et tout ce qui participe à l'affaissement déjà bien engagé de ses "zygomatiques" et de ses "risorius" ne peut que contribuer à la saine rigolade de tous ceux qui s' emploient à forcer ce rictus ...
C'est donc, et en revanche, à quelqu'un de très sérieux que le prix a été décerné, Danielle Sallenave auteur dramatique digne de ce nom.
On dit qu'une partie du jury aurait voulu que la fille de Madame Angot l'obtînt...
Autant donner à Jennifer de la Star'Ac le prix Marguerite Long...
Pourtant tout avait été préparé pour que la chose se fasse, ou pour parler plus chic, que la chose se fît... Quinze exemplaires avaient été édités pour les soumettre au jury... pas un de plus... pourquoi faire plus puisqu'une Camerone, en bonne état, vous sort 3000 exemplaires à l'heure ou à peu près... Pour ce qui est du jury, les membres se partagent entre nécrophage patenté, actrice crypto-slave sur le déclin, mais aussi fort heureusement réelle et humble artiste dédicataire de l'oeuvre et universitaire(s) reconnu(es) ...
C'était sans compter sur le "réglement" et sur la vigilance de ceux qui considèrent et c'est à leur honneur, que ce ne sont pas les éditeurs qui doivent faire les prix (même lorsqu'une partie du jury à leur solde tente de démontrer , par l'absurde, le contraire..). En effet, manque de pot, pour prétendre à l'obtention de ce prix, il faut que l'ouvrage soit en librairie...
La fille de Madame Angot, malgré ses appuis, n'a pas été couronnée...
On pourra donc dire, enfin avec justesse, que l'oeuvre de Christine Angot n'a pas de prix...
Josyane Savigneau doit en frémir de rage...et tout ce qui participe à l'affaissement déjà bien engagé de ses "zygomatiques" et de ses "risorius" ne peut que contribuer à la saine rigolade de tous ceux qui s' emploient à forcer ce rictus ...
C'est donc, et en revanche, à quelqu'un de très sérieux que le prix a été décerné, Danielle Sallenave auteur dramatique digne de ce nom.
4 commentaires:
Cette affaire de prix est carrément incestueuse...
Et oui, c'est bien injuste, mais quoi qu'on nous dise au catéchisme, la souffrance n'est pas toujours récompensée... pas plus que le talent reconnu,la communication efficace, ni la fille Angot consacrée...
C'est con tout ça...
Et finalement, c'est Danielle Sallenave qui a eu le prix pour un livre qui s'appelle "Quand même". C'est quand même magouille et compagnie...
Cher Eric,
C'aurait effectivement pu être magouille et compagnie et ça allait l‘être... C'est même à ce sujet que j'ai parlé de ce prix (que je connais un peu d'une manière " collatérale" comme les dangers du même nom...) et de ce risque . La vraie magouille est celle qui a avorté et qui préparait avec énergie la consécration de Angot...
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