22 janvier, 2007

Pourquoi noircir des pages...

quand quelques mots suffisent

ÉGLIN AMBROZANE

La galante

- Commencez à vous réjouir,
Étranger, je vais vous ouvrir.

Églin

- Je suis le loup chagrin,
Beauté, pour vous servir.

René Char

8 commentaires:

Anonyme a dit…

cher pp, petite blague sexiste.
Un homme, atteint d'une tumeur au cerveau apprend qu'il lui faut se faire greffer un nouvel organe. Le don d'organe étant devenu vénal, il s'informe sur internet des tarifs en vigueur. Il constate une grande différence de prix entre les cerveaux masculins d'un coût exorbitant et les cerveaux féminins carrément bradés. Pour quoi un tel écart s'interroge -t-il? C'est que les cerveaux féminins,d'occasion, sont les seuls à avoir servi...

ce ci n'est pas une blague. Les différences de prix entre garçons et filles sont en Asie apporte un flagrant démenti aux théories de l'économie de marché qui veut que la denrée rare s'apprécie. Dans certains provinces chinoises on compte déjà ( vive le démocratisation de l'échographie,) 130 garçons pour 100 filles. le statut, déjà difficile des femmes en-est-il amélioré, sont-elles, devenues rares, davantage respectées? Que nenni...Achetées aux familles pauvres des provinces du centre et de l'ouest, ou enlevées par des traficants, elles sont ensuite revendues au plus offrants dans les villes de la côte orientale. bises.
Angevine.

Nina louVe a dit…

La Nina

Commencez à sourire
Étranger lointain,
je sors de la tanière...

L'Moqueur

Je suis un loup coquin
Qui n'a pas encore trouvé
Où est : Téoutéki

(rirrress taquins)

P. P. Lemoqeur a dit…

Aimez-vous Char ?
Nina

Nina louVe a dit…

?
juste si il est vivant

Nina louVe a dit…

«Un homme sans défauts est une montagne sans crevasses. Il ne m'intéresse pas.»


René Char - Extrait des Feuillets d'Hypnos

P. P. Lemoqeur a dit…

Mais oui, Char est toujours vivant...

Nina louVe a dit…

j'en veut encore de ce Char, s'il vous prie.

Nina louVe a dit…

"Un poète doit laisser des traces de son passage, non des preuves.
Seules les traces font rêver."

René Char

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