27 octobre, 2007

Ravel encore et le flegme de Michelangeli et de Celibidache

Regardez, admirez le grand Arthur faisant la tartine de beurre... pendant que le non moins grand Serge bat tout simplement la mesure, peinards... plus décontractés, y a pas... rigolards, qu'ils sont... mais c'est qu'ils s'amusent !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci pour ce lien !
Musique somptueuse, doux euphémisme.
Ce mouvement lent du concerto en sol est (à mes orilles) ce que j'ai entendu de plus beau, de plus émouvant, de plus boulversant.
Un soir en voiture, rentrant chez moi, hoplà, radio Cl. décide de diffuser ce mouvement alors que mon doigt allait appuyer sur la zapette de la porte du garage (où personne ne m'attendait!).
Et bien j'ai fait marche arrière et au moins 15 fois le tour du pâté de maison rien que pour le plaisir d'écouter ce bijou.
Bon, je préfère une interprétation moins romantique, quand la main droite tombe pile poil sur la basse, sans millième de seconde de décalage. Mais venant de Michellangelli et Célibidache, on s'incline. Je ne sais s'il existe une version Berntein/Gulda, si oui, ce doit être encore plus axtraordinaire.
Encore merci !
Nathalie

P. P. Lemoqeur a dit…

La version Samson François est tout aussi merveilleuse.

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