03 août, 2008

Petrella, Ménigon...

Bon, je voudrais pas faire chier, mais vous savez, en août, il s'en passe et parfois de sévères...
Donc, qu'en est-il de Marina Petrella ?
Ce n'est pas parce que Ménigon a été libérée, (bravo à celui, fut-ce Sarkozy lui-même, s'il avait voulu l'empêcher, il aurait pu, qu'on le doit ) qu'il faut oublier Petrella.

Ah, au fait, je ne suis pas pour autant un partisan béat du terrorisme... qu'on se le dise...
.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Tous les jeudis, il y a des naïfs et naïves qui se réunissent devant Beaubourg à 18h30 pour demander la levée d'écrous , histoire qu'elle soit soignée un peu dignement.
Sur le fond de l'affaire, il semble que ce ne soit pas si simple, les années de plomb en Italie... mais a notre niveau en France,l'asile politique a été accordé aux activistes italiens réfugiés sous la condition qu'ils se rangent. C'est ce qu'a fait M.Pétrella. Un jour, elle passe au commissariat pour une histoire de carte grise et hop, au gnouf. Plus de boulot, plus de vie plus rien, plus d'engagement de la France parce que notre nouveau chef d'Etat veut rester pote avec l'autre dangereux italien. Des potes...despotes. Plus de loi, plus rien. Mais la manière dont M.Pétrella est traitée est bien à l'image de ce qui se profile.. plus de loi , plus rien, juste la loi du bénéfice pour les plus fort des cons dangereux . je me disais, dans un demi sommeil, l'autre soir, que ce qui est privatisé sort du bien commun,c'est ce qui ne se discute plus en assemblée... ENSEMBLE. La privatisation de l'eau, du génome, de la culture et de l'éducation, indique la volonté de mettre fin à la démocratie et de la chose publique, à la parole citoyenne. Cette mise à sac du vivre ensemble et de la notion d'homme social m'est insupportablement violente.Le terrorisme n'est pas du coté de M.Pétrella. C'est pour cela que je retourne dans la rue.. LESA FAKER

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