06 mai, 2010

Un poème, deux mélodies

Verlaine

2 commentaires:

Anonyme a dit…

wi, Fauré ramasse tout! Y a pas, c'est magistral!
Mais je garde une grande tendresse pour
Reynaldo Hahn...
Hors landau

P. P. Lemoqeur a dit…

Bien d'accord !
Mais ce qui est intéressant dans cette comparaison, c'est le traitement que chacun applique à ce poème. Avant de se retrouver sur une dramatisation commune car inévitable de la dernière et "performative" strophe, ils sont totalement opposés sur les trois précédentes, en dehors de la structure qui reste la même sans répétition du texte.
Fauré l'introverti est en mineur(mi mineur), mélancolique, quand Hahn le mondain est guilleret, en majeur (sib maj.), un peu comme si la palme de l'arbre était celle du "Palm-Beach"... On ne se refait pas...

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