16 août, 2010

Préoccupations de ce jour :

1°Terminer une pièce pour quintette de cuivres percussion et marimba.
2°Finir une mélodie pour voix de baryton, saxophone alto et marimba encore (j'aime le marimba).
3°Commencer de trouver les raisons pour lesquelles j'aime tant Zurbaran, depuis toujours, c'est à dire depuis 1963 ou 1964, quand je le découvris, ma mère, l'admirable femme ! m'achetant chaque semaine "Chefs d'oeuvre de l'Art", remarquable revue hebdomadaire éditée par Hachette et dont je possède la collection entière.

J'ai donc du pain sur la planche, du grain sur la manche, un serin sur la branche, un burin sur la tranche, ou comme elle, un brin sur la hanche, j'arrête!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Il y a un mystère Zurbaran! comment un type qui a peint des floppées de moines faisaint la gueule peut-il fasciner à ce point? On ne peut pas en détacher les yeux, c'est un peitre extraordinaire... Qui me fait parfos peur!
Hors landau

Anonyme a dit…

Zurbaran a subi directement l'influence de Pcheco (http://fr.wikipedia.org/wiki/Francisco_Pacheco) beau-père d eVelasquez et salaud de censeur pour l'inqusition...Ce qui ne l'empêche pas d'être un de mes ancêtres dans ma lignée maternelle.Et ce catho monstrueux a eu pour descendant le lbérateur de cuba, MAnuel de Cespédès, franc maçon qui libéra ses exclaves et vira les espagnols de cuba... ! ainsi que mon arrière grand père, juan luis Pacheco de cespédès, révolutionnaire cubain qui est allé foutre la merde au Pérou! Il est aussi l'ancêtre d'alba de Cespédès, écrivaine italienne, résistante et communiste: y a une morale!
on ne sort pas indemne de Séville!

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