15 février, 2011

"Protégez- moi de mes amis..." et la manière dont la France voit la justice des autres pays, de Cassez à Battisti...

Quand on voit comment le gouvernement français oeuvre pour la libération de cette jeune femme, prisonnière au Mexique, on ne peut s'empêcher de penser au célèbre aphorisme, et qu'elle est plutôt mal barrée.

Certains le datent du IIIe siècle avant JC et l'attribuent à Antigone II, roi de Macédoine. Le maréchal de Villars, l'aurait repris à son compte après que Saint François d'Assise l'eût paraît-il fait sien.

En attendant, ils font tout ce qu'il faut pour braquer ceux qu'ils l'ont jugée.

Mais je me pose une question. Ne seraient-il pas en train de confondre la pauvre Florence Cassez et l'incertaine Ingrid Betancourt ? Vous savez, pour eux, dans ces pays sous développés... qu'on soit enlevée par de prétendus révolutionnaires ou jugée par des juges officiels, c'est tout rastaquouères et compagnie... Florence Cassez est sans doute innocente, peut-être ne l'est-elle pas, c'est comme ça pour tout le monde et ce n'est plus la question, au vu des accords internationaux, elle devrait rentrer.

Reste une chose curieuse. Ce gouvernement qui cherche à juste titre à la faire revenir, met en doute l'autorité de la justice du Mexique quand il était beaucoup moins regardant sur celle de l'Italie des années 70/80 dès qu'il s'est agi récemment d'extrader Battisti...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

les noises avec le Mexique, c'est le syndrome "Napoleon le petit" qui surgit?
Nico fait gaffe à Sedan

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