07 juin, 2011

Nirvana

Pas besoin de 50 ans de pratiques orientales. J'ai d'une manière endogène accès au nirvana et sans substance aucune ! Je sais certes souffrir en douce, connaître les affres du doute et pire, celui des certitudes, des procédures de l'amour et de ses avatars, mais je sais qu'à chaque fois, il va y avoir un point, un moment qui doit durer un milliardième de seconde et sans doute beaucoup moins, au delà duquel je sombre, pour m'y épanouir, dans l'indifférence, le vide, le rien, ce rien qui remet tout en place après le trop de tout et permet de revivre, de se réincarner...
Je suis de plus en plus persuadé que la peur de la mort n'est pas celle de l'Inconnu. C'est au contraire celle de la Connaissance... La mort est un miroir, un grand miroir baroque ou le petit miroir d'un simple poudrier... Ce peut être le paradis, ce peut être l'enfer... L'enfer ce serait les autres ? Couillonnade ! l'enfer, c'est soi.

4 commentaires:

Caly a dit…

"l'enfer, c'est soi"

Je vous l'accorde :)

Mais le paradis aussi... du moins je le pense sincèrement.

CHROUM-BADABAN a dit…

S'il faut mourir pour éviter l'enfert, c'est à dire soit même..., heu j'hésite!
"TOUTE SORTIE EST DEFINITIVE", voilà ce qui est inscrit sur un billet de la ménagerie du Jardin des Plantes ramassé sur le trottoir!

Alexis Brunet a dit…

Et moi qui pensais que vous alliez parler du groupe de rock...:)
Ha, puis je vous ai lu sur les commentaires.
Alors, comme jugement complétement pas argumenté, j'en ai un qui va vous plaire ; pp, je vous aime énormément.

P. P. Lemoqeur a dit…

Alexis dear !

J'aime qu'on m'aime, quand en plus, on me le dit dès potron-minet !

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