11 mai, 2012

les mystères de l'organisme...

Ce matin, j'ai fait une chose que je n'avais pas faite depuis longtemps,  prendre le train à six heures trente du mat pour aller à Paris, lever à cinq heures. Et, c'est très bizarre, mais aujourd'hui  à six heures trente  il faisait déjà chaud. N'empêche, j'avais oublié ce petit frisson qui va et vient, et qui est dû au fait que le sommeil à ces heures inhumaines nous tient encore, nous agrippe, fussions nous totalement éveillés. Je crois que ce petit frisson matinal nous rappelle que nous sommes sur la corde raide, sur le fil du rasoir et que nous pourrions retomber en moins  de deux dans les bras de Morphée, au chaud.

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