25 septembre, 2012

A Emmanuelle...

Emmanuelle, j’épousai ton aimable fessier
Ta peau de nacre douce, tes rêveries obscures...
Je fus le cadre blanc de  ces pensées impures
Qu’ingénue tu offrais du creux de mon osier

Je ne suis désormais qu’une épave noirâtre
Abandonnée au fond d’un grenier  incertain
Où es-tu désormais, où est ton teint d’albâtre ?
Nous eûmes tous les deux un bien triste  destin...


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